« Un duo Bisontin au coeur des premiers plateaux »
Laviron est un petit village du Haut-Doubs, situé sur le plateau de Pierrefontaine à 860m, peuplé d’un nombre d’habitant croissant, les 351 âmes qui y vivent se sentent bien, et pour cause, le village jouit d’une nature verdoyante, attirant touristes, et locaux, la commune à aménagée deux tables d’orientation, les ballades y sont très relaxante. Le village est composé de deux hameaux rattachés, Le Petit Laviron, et le Grand Laviron.
La communauté possédait probablement une église dès le xiie siècle, dépendant du prieuré de Lanthenans, mais ne devint paroisse qu’au xive siècle. L’édifice subit d’importantes transformations au xviiie siècle mais restait « basse et comme enfoncée dans la terre, ce qui la rendait humide et malsaine ». Jugée trop petite dès 1807, elle fut presque entièrement reconstruite de 1859 à 1863, selon les plans de l’architecte Painxhaux. Une inscription rappelle que l’abbé Huot, né à Laviron le 13 octobre 1750, vicaire en chef à la Grange, fut emprisonné à Saint-Hippolyte, puis fusillé à Besançon le 8 octobre 1793.
Cette charmante petite église possède un clocher comtois, non coloré, mais qui, à mon goût, est l’un des plus joli du secteur de Pierrefontaine, en 2 015, la municipalité investi, constatant des infiltrations d’eau, celle-ci décide d’entreprendre des travaux visant à re-jointer les pierres de façon a stopper les infiltrations, quelques pierres furent remplacées. Ces travaux se sont fini fin 2 015, et laisse une nouvelle peau a cet édifice.
L’église possède deux charmante dames de bronze:
Cloche 1: « Jeanne-Marie », Diamètre 119,3, Poids 1 005 kg, Fondue par François-Xavier Roy à Besançon, en 1 812, Chante le Mi3
Cloche 2: « Jeanne-Françoise », Diamètre 102,5 cm, Poids 645 kg, Fondue par François-Xavier Roy, à Besançon, en 1 812, Chante le Sol3
La vidéo sur la sonnerie en FullHD
Je remercie très chaleureusement M. le marie de cette charmante petite commune, pour son autorisation de filmer les cloches spécialement pour ma venue au clocher, sans lui, ce film n’aurait vu le jour.
Je tien aussi à remercier la personne qui s’occupe du lieu, qui m’a très aimablement accueilli dans son église, il m’a aussi fait sonner les cloches de façon à ce que je puisse rester au clocher.
Soutenu par le village de Laviron.